dimanche 23 janvier 2011
Où ça bosse dur
Par louline, dimanche 23 janvier 2011 à 18:59 :: En France
Dans la vie, il y a des choses récurrentes.
Je ne t'apprends rien, petit lecteur, mais c'est bon de le souligner. De mon côté, j'expérimente l'éternel recommencement, de l'éternel schéma.
Prenons par exemple l'école, ou les cours en général. Au départ, en maternelle, on est relativement peinard. Du dessin entre la sieste et le goûter. Une petite chanson à l'occasion, la récréation, une histoire en fin de journée. Puis, c'est l'escalade de la violence. L'école primaire, qui te pique une récré l'après-midi et les images de tes livres au profit de choses nettement moins funkies comme la grammaire. Puis le collège, où tu n'as même plus ta place attitrée à côté du radiateur et qu'il faut se réveiller entre chaque cours pour changer de classe. C'est là que commence également le régime de la terreur des examens qui va aller crescendo du lycée aux études supérieures. Chaque année plus dure que la précédente. Une fois que c'est fini, tu te crois tiré d'affaire, mais en fait c'est faux.
Que fait l'étudiante fraîchement diplômée, qui travaille enfin? Par un mécanisme de masochisme forcené sournoisement incrusté et sous couvert de loisirs, elle s'inscrit à un cours. De dessin, certes, mais un cours quand même. On repart dans la spirale infernale. La première année, c'est cool. On se dessine en animal et on mange des œufs kinder. Alors, sans réfléchir, l'année d'après on se réinscrit.
Et là, ami lecteur, au premier sujet, tout te revient comme un boomerang, mais il est trop tard. Pendant que les petits nouveaux se bidonnent en se dessinant en bestioles, toi tu as le sujet des "deuxièmes années" et tu regrettes de n'avoir pas plus travaillé l'an dernier.
Tout ça pour vous dire, que ma deuxième année de cours de dessins, se complique chaque sujet un peu plus. Le dernier, que je viens de finir, a été un véritable challenge. L'énoncé disait (en gros) qu'il faillait dessiner un personnage masqué habité par une histoire. Expression uniquement par la gestuelle et un décor éventuel. Plus facile à dire qu'à faire. Mais veni vidi vici, comme disait l'autre. En exclusivité, pour vous messieurs et mesdames : le cycle des saisons.
Je vous quitte avec un extrait de l'album de Lilly Wood & the prick. Petit groupe français qui chante en anglais et qui a sorti un album assez sympa qui a beaucoup tourné dans nos oreilles ces derniers mois.
: Cover my face
A bientôt les chouchous !
Je ne t'apprends rien, petit lecteur, mais c'est bon de le souligner. De mon côté, j'expérimente l'éternel recommencement, de l'éternel schéma.
Prenons par exemple l'école, ou les cours en général. Au départ, en maternelle, on est relativement peinard. Du dessin entre la sieste et le goûter. Une petite chanson à l'occasion, la récréation, une histoire en fin de journée. Puis, c'est l'escalade de la violence. L'école primaire, qui te pique une récré l'après-midi et les images de tes livres au profit de choses nettement moins funkies comme la grammaire. Puis le collège, où tu n'as même plus ta place attitrée à côté du radiateur et qu'il faut se réveiller entre chaque cours pour changer de classe. C'est là que commence également le régime de la terreur des examens qui va aller crescendo du lycée aux études supérieures. Chaque année plus dure que la précédente. Une fois que c'est fini, tu te crois tiré d'affaire, mais en fait c'est faux.
Que fait l'étudiante fraîchement diplômée, qui travaille enfin? Par un mécanisme de masochisme forcené sournoisement incrusté et sous couvert de loisirs, elle s'inscrit à un cours. De dessin, certes, mais un cours quand même. On repart dans la spirale infernale. La première année, c'est cool. On se dessine en animal et on mange des œufs kinder. Alors, sans réfléchir, l'année d'après on se réinscrit.
Et là, ami lecteur, au premier sujet, tout te revient comme un boomerang, mais il est trop tard. Pendant que les petits nouveaux se bidonnent en se dessinant en bestioles, toi tu as le sujet des "deuxièmes années" et tu regrettes de n'avoir pas plus travaillé l'an dernier.
Tout ça pour vous dire, que ma deuxième année de cours de dessins, se complique chaque sujet un peu plus. Le dernier, que je viens de finir, a été un véritable challenge. L'énoncé disait (en gros) qu'il faillait dessiner un personnage masqué habité par une histoire. Expression uniquement par la gestuelle et un décor éventuel. Plus facile à dire qu'à faire. Mais veni vidi vici, comme disait l'autre. En exclusivité, pour vous messieurs et mesdames : le cycle des saisons.
Je vous quitte avec un extrait de l'album de Lilly Wood & the prick. Petit groupe français qui chante en anglais et qui a sorti un album assez sympa qui a beaucoup tourné dans nos oreilles ces derniers mois.
: Cover my face
A bientôt les chouchous !