Les aventures de louline la croute

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mardi 30 octobre 2007

La rubrique de l'insolite : l'examen

Aujourd'hui j'ai eu mon premier vrai examen à l'université. Ca valait le détour.

Tout à commencé la semaine dernière, quand on a voulu se renseigner sur la salle où allait se dérouler le partiel. Notre gentille prof a téléphoné au responsable, qui l'a redirigé vers un autre responsable qui lui aussi l'a transferé vers une autre personne. Finalement, nous avons appris que les numeros de salle pour les examens n'étaient pas divulgués à l'avance. Deux raisons pour ça. La première est que, nous étudiants, sommes des êtres vils et oisifs, et si nous avions vent du numéro de salle, on pourrait aller la retapisser d'anti-sèches. Ce qui est tout à fait interdit.

La deuxième raison est que l'organisation de partiels étant un exercice compliqué où tout peut arriver, le numéro de salle est donné au dernier moment pour que, si d'aventures une salle s'averait d'un coup indisponible, nous ne soyons pas trop perturbés par un changement de dernière minute. Nous avons donc été informés que les numeros de salle seraient disponibles le matin du partiel (parce qu'evidemment, c'est à 8h du matin), sur une feuille, sur une porte. Cinq bâtiments sur trois à cinq étages, ça en fait des portes. De toutes façons, la personne au téléphone n'était absolument au courant, parce qu'elle n'était pas celle qui est responsable de la feuille des salles, donc non, elle ne sait pas quand elles seront mises ni où.

Absolument pas perturbée, ce matin grâce à ma colloc' qui a entendu mon reveil, elle, et m'a reveillé, je suis partie pour mon partiel non localisé. Figurez-vous qu'avant de trouver la feuille sur la porte, nous sommes bien passé trois fois devant. A mon avis, cette histoire de feuille c'est une pré-selection pour l'examen, parce que franchement elle était bien cachée. Toujours est-il que la première epreuve passée, nous sommes allés nous installer dans la salle, pour tenter de passer l'épreuve principale.

Deuxième epreuve éliminatoire, les instructions en Suédois. Nous étions deux groupes différents à passer un partiel dans la même salle. Pour la distribution des copies, il fallait lever la main selon sa matière. Autant, j'ai réussi avec brio l'épreuve de la salle, autant là, ca commençait à se corser. Il était 8h30 du matin, la digestion du café n'était pas finie, et je me suis sentie tout d'un coup en milieu hostile. Heureusement, grâce à un de mes vickings qui a lu du desarroi dans mes yeux, j'ai quand même réussi à recuperer un sujet.

Je vous passe le détail du sujet qui était faisable à part une ou deux questions un peu tordues, pour arriver à ce qui nous interesse: le moment d'insolite. Au fond de la salle, une porte donnait sur un cabinet de toilettes. Une des prof qui nous surveillait s'est installée à coté de la porte. Jusque là tout va bien.

Sauf que, au bout de 3h30, quand l'envie de pipi se fait sentir, on est pas au bout de ses surprises. Pour aller au toilettes, il faut remplir un papier. Oui oui, un papier, avec son nom/prenom, le nom du programme que l'on suit (euh, si on sait pas, on peut pas faire pipi?), et, accrochez-vous, l'heure d'entrée aux toilettes, et l'heure de sortie. Pour l'heure d'entrée, pas de problème, et l'heure de sortie, ma foi, aucune idée. Un peu desemparée, j'ai regardé combien de temps avaient mis les précédents, sondé rapidement le contenu de ma vessie et ai opté pour une minute. Une solution aurait été d'écrire l'heure en sortant des toilettes, mais bon, je trouvais que c'était assez ridicule comme ça pour ne pas en être réduite à chronometrer une durée de pipi pendant un examen de software engineering.

Tout s'est bien passé finalement, j'ai respecté mon temps imparti et ai fini mon examen sans autres mesaventures. Une remarque quand même, ici le système éducatif est vraiment bien fait. Chaque examen a sa session de rattrapage. Reveil raté? Malade? Mauvais résultat? Pas de stress, il y a toujours moyen de repasser sans penalités ni justifications le partiel quelques semaines plus tard. Alors qu'en France, on a l'impression que les profs attendent juste l'examen final pour nous coincer, ici c'est beaucoup plus zen, puisque tu as une seconde chance, quoi qu'il arrive.

Des petites nouvelles pour finir, la famille de ma colloc (avec de la nourriture française) et un pote à elle ont débarqué en Suède. Jeudi, ma soeur et Erwan nous rejoignent. Entre temps, je jongle avec mes rapports, projets et demandes de stage. Le bonheur, quoi. A tout bientôt !

mardi 23 octobre 2007

Retard

L'avantage quand on est chef de projet, c'est qu'on dirige les réunions. Par conséquence, sans chef, pas de réunion. La ponctualité n'étant pas ma principale qualité, il est arrivé très souvent que mes camarades aient du attendre quelques minutes avant de me voir arriver.

Aujourd'hui a été une journée de celles où on se dit que finalement rester au lit aurait été une bonne idée. J'en ai tiré une petite BD qui en relate le démarrage difficile. Rien que pour vous : la réunion de 13h.

Je ne m'étendrais pas sur les deux semaines très chargées qui m'attendent, ni sur l'UTBM qui me fait des misères pour mon stage, je vous laisse donc avec un clip très sympa de Thomas Fersen et de sa chanson "deux pieds", qui me parle, tout particulièrement.

Ha det bra !

vendredi 19 octobre 2007

Où il est question d'enfant

Tout à l'heure à la piscine, alors que j'atteignais le bout du bassin, un maître nageur m'arrête et se met à me parler en suédois. Dans ce cas là, c'est toujours genant, parce que soit on coupe les gens pour leur dire "euh coco, te fatigue pas, je comprends rien", soit on attend qu'ils aient fini et, la bouche en coeur, on leur annonce qu'ils peuvent tout répéter en anglais.

En général, j'opte pour la solution deux, surtout quand je me bats en même temps pour enlever mes lunettes de plongée et mon pince-nez. Gentiment, le petit jeune homme m'explique qu'au plafond il y a des sortes de grands trucs circulaires en métal qui sont en fait des douches pour amuser les enfants. Il ajoute que les enfants présent voudraient bien qu'on les allume, est-ce que ça ne me dérange pas, parce que ça eclabousse partout. Etant soudainement intriguée par cette installation que je n'avais même jamais vu, je réponds que pas de problème, ça ne me dérange pas.

Je recommence alors à nager, quand, au moment d'atteindre l'autre bout du bassin, j'entends des cris d'enfants. Rapide coup d'oeil, effectivement les roues de carosses en métal envoient de l'eau, et ça ressemble à de la pluie. Les gamins ont l'air tout contents et sautent partout. Original, me dis-je en arrivant près de la zone de précipitations et soudain mon sourire disparait quand la première goutte me touche. En fait de pluie, il ne s'agissait nullement d'une chaude averse tahitienne mais d'une authentique rincée belfortaine digne d'un mois de novembre. L'eau était glacée. Pour un peu, j'aurais crié avec les enfants.

Le plus terrifiant, c'est que les gamins avaient de l'eau à peu près jusqu'à la taille et ils avaient l'air parfaitement heureux sous leur douche à 3°C. Après coup, l'eau du bassin m'a parue chaude, bien que je n'ai arreté de claquer des dents qu'après dix minutes de sauna à 88°C. Cette formidable experience a duré une quinzaine de minutes, et j'espère bien n'avoir jamais à revivre ça. De toutes façons, les enfants suédois ne sont pas tout à fait humains. La prof de suédois nous l'a même dit.

En suédois, les mots sont classés en deux types. Non pas féminin-masculin, parce que ça serait beaucoup trop facile, mais en non-neutre et neutre. Le non-neutre est reservé pour les mots relatifs aux humains et à leurs comportements, le neutre pour le reste. Pour le premier groupe, on retrouve des déclinaisons en "n" et pour le deuxième en "t". Exemple : en pojke (un garçon), ett hus (une maison). Et, figurez-vous qu'ici un enfant (ett barn) appartient à la catégorie des neutres alors qu'une fois devenu un adulte (en vuxen), il fait enfin parti des humains. Je vous confirme donc, qu'ici les enfants ne sont pas tout à fait humains.

Pour en finir avec les enfants, il semblerait que courant d'avril, louline la croute se transformerait en tata louline. En effet, ma petite grande soeur m'a annoncé qu'elle était enceinte. Hormis l'horrible coup de vieux que représente le fait de devenir tante (coucou à mes tantes qui me lisent), je suis absolument ravie. Du coup, pour mon stage à venir, j'ai restreint mes recherches à l'Europe, histoire de n'être pas trop loin, et je vais me replonger dans la recherche d'un nouvel appareil photo. J'en aurai bien besoin, parce que le cher ange n'a pas l'air très photogénique. Voyez-vous même.

Virginie, je rigole evidemment, je suis impatiente de vous voir tous les trois à la fin du mois (surtout, n'oublie pas le saucisson).

Je vous laisse avec une petite chanson d'Anne Sylvestre sur les conseils d'éducation: Xavier. Spéciale dédicace aux futurs parents.

A++

lundi 8 octobre 2007

Week-end à Oslo

Ce week-end, nous avons décidé de quitter le pays, direction la Norvège et sa capitale.

Comme ce n'est pas trop loin de chez nous, nous sommes partis samedi matin. Les gens ici sont vraiment très zen. Nous voulions acheter nos billets de train en avance pour ne pas avoir à nous depêcher. Sauf que personne n'a voulu nous en vendre. Parait-il que ça se passe dans le train. On est donc arrivé à la gare, et là, pas de train. En plus, la gare de Trollhätan, à 9h du matin, est complètement deserte. On a quand même réussi à attraper quelqu'un qui nous a expliqué que nous devions prendre un bus. Sans trop comprendre, on saute dans le bus qu'on nous indique. Là encore, personne ne veut nous vendre de billet. On était bien sur que c'était un train qui devait nous emmener à Oslo. Toujours est-il qu'on était dans un bus qui s'enfoncait dans la cambrousse suédoise.

Au bout d'une dizaine de minutes, nous arrivons dans la metropole d'Öxnered, une gare apparait au milieu de nulle part, un train norvegien pour Oslo nous y attend sagement. Une fois dans le train, on a enfin pu prendre nos billets. Après environ trois heures de route, on est arrivés. Un sandwich, un café et nous partons à la recherche de l'auberge de jeunesse pour déposer des sacs. L'occasion pour nous de faire un petit tour en ville, et profiter du soleil.

Nous sommes partis à cinq : Caro, Pascal, Sakari, Ozan et moi. On avait donc cinq lits reservés dans une chambre de six. C'était pas trop mal, pas super propre mais pas trop cher, ce qui relève du miracle à Oslo. Les affaires posées, nous sommes partis pour une super promenade.

Nous avons vu le parlement, l'université, le palais royal, le port, la marina et flané dans le centre ville. D'ailleurs, en pleine rue principale, trônait un grand panneau rose avec des soutien-gorges suspendus. Sur le port, pareil, des ribambelles de soutifs pendaient le long de l'eau. Il s'agissait en fait d'une grande campagne pour soutenir la recherche contre le cancer du sein. Très insolite, mais très rigolo. Des photos.


port
oslo

En fin de journée, on s'est trouvé à dîner dans un restaurant mongole où la nourriture était à volonté puis on est s'est posés dans un bar plutôt sympa. A une exception près, Caro et moi sommes allées au bar chercher à boire, alors que je demandais une bière, la dame me demande si j'ai plus de vingt ans. Heureusement que Caro a été plus rapide que moi pour répondre, je ne suis pas sure que j'aurais été aussi polie. La prochaine fois, je prendrais un lait fraise.

En retournant à l'auberge, nous avons découvert un collocataire qui essayait de dormir. Le pauvre n'a pas été très chanceux. Déjà, parce qu'on a quand même fait du bruit en arrivant, et aussi parce qu'il a eu un mauvais lit. La chambre se composait de lits surperposés et de deux lits simples. Comme nous sommes arrivés les premiers, on a choisi et fait nos lits. Notre ami (italien semblerait-il), n'avait plus en choix que de dormir en dessous de Sakari.

Comme j'ai déjà du le mentionner, Sakari est le colloc finlandais de Pascal (qui a écrit un post très drôle sur lui, en français, le lâche). Fier vicking taillé dans le roc, juste un peu trop solide pour un lit d'auberge de jeunesse. Durant la nuit, une latte de son matelas est sortie et est tombée sur notre malheureux italien. Ce matin, la premier chose que j'ai vu, c'est la latte sur le sol, le derrière de Sakari qui dépassait dans le trou et l'italien qui n'avait, visiblement, pas passé la meilleure nuit de sa vie. On aurait pas eu l'air fin de le trouver empalé sur son lit. Après un petit déjeuner, on a pris le metro pour le parc de sculptures de Vigeland.

Gustave Vigeland est un sculpteur norvégien qui, à travers les deux cents statues du parc, a voulu travailler sur les sentiments humains. Integralement nues, seules, à deux ou plus, ces statues sont faites en bronze ou en granit. Une colonne en granite sculptée (une des plus grandes du monde) surplombe le parc. C'était vraiment magnifique, d'autant que nous avons eu un temps magnifique, grand soleil avec les arbres aux couleurs automnales. La preuve en images.

mother&child
sale gosse

Nous avons passé un bon moment à nous promener dans le parc, et discuter dans l'herbe. Pour retourner en ville, nous avons décidé de marcher, ce qui nous a permis de traverser de magnifiques quartiers résidentiels aux maisons non-moins magnifiques. Après un rapide déjeuner, nous avons encore marché, puis nous sommes retournés chercher nos affaires à l'auberge, pour après prendre le train.

Oslo est une très jolie ville. J'y étais passée rapidement au mois d'aout avec Papa mais on n'avait pas pu rester. Le seul problème, c'est les prix. Même en comparaison avec la Suède, les prix sont beaucoup plus élevés. Du coup, c'est dommage de devoir faire attention pour tout. Qu'à cela ne tienne, je me suis quand même acheté un cool tee-shirt, on mangera des pâtes ce mois-ci.

Je vous quitte avec une chanson de Michèle Bernard. Depuis quelque temps, j'ai une conseillère musicale qui m'envoie des chansons quasi-quotidiennement. Je suis rarement déçue. Récemment, c'est ma copine qui est venue rejoindre ma playlist et même si c'est quand même un peu mièvre, j'adore.

Bonne semaine à tous !

lundi 1 octobre 2007

Oktoberfest et week-end tranquille

Fin septembre, il existe une fête allemande appelée Oktoberfest. Grâce à la mondialisation, ces festivités se sont répendues dans le monde entier. Trollhätan n'a pas fait exception. En début de semaine dernière, un chapiteau blanc s'est installé sur la place, avec des musiciens et des tireuses à bières. Nous avons donc décidé d'aller jeter un oeil.

Vendredi soir, nous nous sommes retrouvés au Swania pour diner. Après ça, nous avons continué par le Smulan. Un mot sur le Smulan, c'est un petit bar vraiment très chouette. Au niveau déco, les murs sont recouverts de collages géants de papiers journaux de toutes origines. On y trouve même des pages du "Monde". L'ambiance est chaleureuse grâce aux bougies partout, et surtout on y entend de la bonne musique. Quelle ne fut pas notre surprise, entre Franz Ferdinand et Regina Spector, d'entendre...Camillle ! En plus de ça, les gens là-bas sont sympa, donc on y va régulièrement.

Vers 21h, on décide de bouger vers l'Oktoberfest. Malheureusement, Marve, la copine d'Ozan, ne trouve plus son porte-feuille. On a donc retracé son emploi du temps, pour finalement en conclure qu'il avait été oublié à la librairie. D'habitude, il n'y a pas de forces de l'ordre dans les rues, mais ce soir là, Oktoberfest oblige, nous avons trouvé des policiers très aimables qui nous ont dit quoi faire. Aidés d'un suédois d'adoption, nous avons signalé la perte par téléphone, puis nous sommes enfin allés à l'Oktoberfest.

Chose incroyable, les portes de la tente franchies, nous aurions pu être dans n'importe quelle fête de village alsacienne. Un orchestre genre "fanfare du village" qui fait de la musique pourrie, des bancs et des tables avec des gens tout gais qui chantent, un joueur de trombone à coulisse sur une table qui zig-zag entre les verres de bière. On s'installe donc là-dedans et on va chercher des bières. Nous igniorions que durant la fête d'octobre, les verres de bières contiennent au minimum un demi-litre.

D'après wikipedia, normalment la bière n'est censée être vendue que dans des Maß (un litre). Toujours est-il que c'était déjà notre troisième étape, et que nous étions loin d'être à jeun. N'ayant pas bu du tout entre mai et septembre, la reprise est relativement dure pour moi, surtout que j'essaie de tromper mon organisme avec des boissons de filles très sucrées (mhhhh,le cidre à la framboise) mais qui, au final, sont aussi alcoolisées que de la bière. Donc, je commence à déguster ma pinte, et heureusement que ce n'était pas la première, parce qu'il fallait au moins ça pour apprecier la musique. Les musiciens ont enflammés la tente en se lançant dans une danse des canards instrumentale absolument monumentale.

On a eu le droit à une deuxième version plus tard dans la soirée, parce qu'on se lasse jamais de la danse des canards. Ce qui m'a beaucoup amusé, c'est les musiciens. Ils étaient habillés en costume traditionnel allemand mais avec leurs têtes de vickings et leurs chapeaux de Hobbits, le resultat était vraiment cocasse.



Après avoir fini ma bière, et la moitié de la deuxième de Sachary (qui voyant mon verre vide, me l'a généreusement rempli), nous sommes rentrés. J'ai sagement poussé mon vélo histoire d'arriver en un seul morceau à la maison. C'était ma première Oktoberfest, et, ma foi, on a passé un très bon moment.

Samedi, j'ai revêti ma cape de super-héroïne et suis allée récuperer le porte-feuille de Merve, qui était bien à la librairie. Comme elle avait déjà quitté la Suède, je lui ai passé un petit coup de fil pour qu'elle ne se fasse pas de soucis. Dimanche, au lieu de travailler avec Jeremy, nous sommes allés manger des gaufres chez Pascal et Sachary, qui inauguraient leur nouveau gaufrier. Une prochaine fois je ferais des photos, parce qu'ici, les gaufres ne sont pas rectangulaires. On a quand même fini par travailler sur notre projet en mangeant de la pizza. Un week-end bien tranquille, quoique moyennement équilibré. Il est temps que ma colloc revienne me faire de la soupe aux légumes.

Pour les quelques fans de Katel qui échouent chez moi grâce à google ou yahoo, des petites nouvelles : l'album qui devait sortir prochainement ne sortira pas tout de suite et quelques dates de concerts vont être annulées (temporairement, semble-t-il). La cause est un rachat du label V2 par Universal. J'attendais aussi la mise en ligne de "raide à la ville" passé sur France 5 dans Studio 5, mais rien n'arrive. Dommage.

Petit dessin crayonné sur mon livre de suédois, dans un moment d'abattement face à mon incapacité à produire un son différent pour "i" et "y". Un post sur le suédois et ses mystères pour bientôt.

Le morceau du jour est issu d'un vieil album qui a réapparu dans ma playlist, "Whiskey" de Jay-Jay Johanson. Une chanson pleine de joie et d'entrain, assortie au temps dehors : it hurts me so.

Bonne semaine les gens !